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"Le cœur d'une femme est un océan de secrets." ~ Anastasia.

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Anastasia Herzarrow

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MessageSujet: "Le cœur d'une femme est un océan de secrets." ~ Anastasia. "Le cœur d'une femme est un océan de secrets." ~ Anastasia. Icon_minitimeMar 14 Avr - 18:18

Anastasia Herzarrow





« ✣ Anastasia Herzarrow »

There's a little bit of devil in her angel eyes. ❤

Ma vie, en bref.
✣ Anastasia, Aurore.
✣ Herzarrow.
✣ Ana, Nana, Stasia.
✣ 16 Mai 2006 en Pologne.
✣ 16 ans.
✣ Sang-mêlé.
✣ Vénus.
✣ Légionnaire de la 4ème cohorte.
✣ Peur de l'oubli.
✣ Dague.
✣ Ambroisie aux myrtilles qui sent la rose.
✣ Jessica Stam.


Passes ta souris sur l'image !

I'll be OK. ~ Behind every sweet smile is a bitter sadness that no one can ever see and feel.
❥ Fille de Vénus, déesse de la beauté et de l'amour. ❥ En grand manque d'affection pendant toute sa jeunesse. ❥ Renaît à son arrivée au camp. ❥ Devient plus sure d'elle, légèrement orgueilleuse, et apprend à s'aimer. ❥ Se fait de nombreux amis et a de nombreuses conquêtes, mais ne s'attache à personne, du moins, en apparence. ❥ S’entraîne tout d'abord à manier la dague, puis devient aussi experte avec un sabre et lance les couteaux à la perfection. ❥ Contrairement à la plupart de ses frères et sœurs, elle est loin d'être superficielle, et a une intelligence notable. ❥ Passionnée de tout ce qui touche à l'art et grande fana de natation. ❥ Aime sentir les regards aimants ou admiratifs sur sa personne, essayant de capter un maximum l'attention. ❥ N'aime pas les hommes lourds -les blagues pourris ne faisant pas partie de cette catégorie-, préférant gentillesse et affection. ❥ Ses péchés mignons sont des aliments à base de myrtille et/ou de rose.


Nana.




Derrière l'écran.
✣ Ah non, pas elle ? Et bah si ! ** Me revoilà avec le compte du pacte. XD Mes DC sont Annabeth Chase et Athéna M. Beauregard pour ceux qui atterrissent.


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MessageSujet: Re: "Le cœur d'une femme est un océan de secrets." ~ Anastasia. "Le cœur d'une femme est un océan de secrets." ~ Anastasia. Icon_minitimeMar 14 Avr - 18:19



My Story




First Chapter. ~ My Silence is just another word for my Pain.


Il y a de ça seize ans, lorsque le printemps laissait peu à peu place à l'été, une déesse est descendue sur terre. L'astre solaire venait frapper la terre de ses rayons mordorés, ensoleillant les journées tandis que la terre n'avait jamais été si fertile. La plupart des plantes étaient en pleine floraison et un doux parfum se dégageait de la ville de Łódź. C'était le temps des amours. Tout semblait si beau et parfait en cette journée printanière... Et pourtant, elle ne rivalisait pas une seule seconde face à la femme qui arriva en ces lieux. D'une beauté enivrante, chaque détail de sa personne semblait avoir été taillé dans le marbre avec une précision extrême pour que chaque partie de son anatomie soit absolument parfaite et que l'harmonie règne dans tout son être. Elle incarnait la splendeur à l'état pur. Et hommes comme femmes furent conquis, sans qu'aucune once de jalousie ne puisse naître en leur cœur. Mais la belle avait déjà trouvé sa proie bien longtemps avant d'entreprendre son voyage sur terre, et elle jeta donc son dévolu sur le beau jeune Herzarrow. Alexander, complètement sous le charme, ne vit pas les choses venir et se laissa emporter par l'ouragan qu'elle était. Mais il ne connu jamais tempête si douce et jouissive et il s'unirent dans la fraîcheur de la nuit qu'ils réchauffèrent de leur fusion. Le lendemain matin, l'extase passée, sa reine avait disparu, laissant pour seule trace un enfant, supposé être le sien. Et cet enfant, c'était moi.

Qui aurait cru qu'en une seule nuit, on pouvait sceller son destin à jamais ? Mon père en avait fait les frais ce soir là. Mais que voulez-vous, les mortels ne sont que des jouets coincés dans le filet des dieux. Plus on se débat, plus on se fait prendre. Il n'y a aucun échappatoire, et mon arrivée prématurée n'était que la preuve qu'on contrôlait entièrement notre destin. Alors le jeune Alexander, qui en une nuit, avait prit dix ans d'âge cessa de se débattre et accepta les faits, n'étant de toute façon pas en mesure de faire quoi que ce soit d'autre. Je n'étais pas une enfant voulue, non. Mais j'étais née d'amour. Charnel et démesuré, certes, mais cela me suffisait. Architecte depuis peu, on ne pouvait dire qu'il avait du mal à subvenir à mes besoins. Mais il n'était pas non plus très présent. Du moins, d'aussi loin à ce que remontent mes souvenirs. Peut être ne croyait-il pas au fait que je sois née en une journée. Peut être pensait-il que je n'étais pas sa fille, oui. Mais il ne m'avait pas abandonné, et c'était déjà pas mal. Surement ne pouvait-il se décider à oublier une enfant aux traits si beaux et purs que sa dulcinée. Je ne savais s'il l'avait vraiment aimé, mais en tout cas, elle avait laissé en lui une marque indélébile, faisant passer toutes les autres femmes pour fades. Et cet état dans lequel il se trouvait l'obligeait d'une certaine manière à m'élever, bien que l'amour n'y soit pas toujours. Cependant, il était difficile de combler le manque d'une mère quand le père n'était pas aux petits soins. Mais cette évidence ne sembla pas l'effleurer, ou du moins le déranger. Alors il ne fit pas plus d'efforts tandis que je grandissais, devenant petit à petit une fillette aussi mignonne qu'un ange tombé du ciel, et en âge d'aller à la maternelle. L'heure de vivre en société et de s'y faire une place avait sonné pour moi.

Le premier jour dans un endroit inconnu, sans ses parents. On nous dit qu'on est enfin devenu grand, qu'il faut lâcher le bras de maman et embrasser papa, pour aller avec la maîtresse. Que tout se passera bien et que ce soir, il y aura un bon dîner pour avoir été de bons enfants. Du moins, c'est le discours qu'ont la plupart des mômes de cet âge. On essaie de leur donner confiance, pour qu'ils soient forts les premiers jours, puis ça passe tout seul. Ils se font des amis, jouent ensemble, et la magie opère. Une fois qu'on a une place à un endroit, il nous fait moins peur. En principe, ça fonctionne comme ça, et ça marche. Mais moi, je n'avais pas de mère à qui m'agripper. Et je ne comprenais pas pourquoi j'étais la seule à en être dépourvu. Je ne voulais pas non plus faire ma petite fille larmoyante devant mon père, de peur qu'il me trouve trop collante et m'abandonne. Alors je n'ai rien dit, et je l'ai laissé partir, complètement perdue. Je l'ai regarder s'éloigner, essayant de retenir du mieux que je le pouvait les larmes qui voulaient rouler sur mes joues. Mais la volonté d'une enfant est si faible... Alors elle finirent par perler doucement, la tristesse prenant le dessus sur mon petit être. Et ce fut la fin. Connaissez-vous la mentalité des gamins de cet âge là ? Cette façon qu'ils ont de rabaisser les autres sans se gêner, parce qu'ils ne savent pas que c'est mal ? Ils se sont moqués de moi. De mon nez qui coulait, de mon attitude pleurnicharde, de mon père qui m'abandonnait sans scrupules... En quelques secondes, j'étais devenue un souffre douleur. Les jours, les mois, puis les années passèrent, mais ça ne changeait pas. J'étais devenue la tête de turc de la maternelle, celle qui n'avait pas de mère. 

Je n'aurais pas du avoir à supporter cela. Je n'aurais pas du me laisser faire non plus. Mais je n'étais pas une femme forte. Je n'étais même pas une femme. Juste une gamine paumée dans une cour d'école, laissée là pour s'en débarrasser. La solitude semblait m'accompagner où que j'aille, et que ce soit en cours ou pendant les pauses, aucun autre enfant ne semblait vouloir m'approcher, si ce n'était pour me faire du mal, aussi bien physiquement que moralement. Étais-je invisible aux yeux des autres ? Ne me voyaient-ils que lorsqu'ils s'ennuyaient et avaient envie de jouer un mauvais tour ? Ou leur méchanceté était-elle sans borne ? Aujourd'hui encore, je ne saurais trouver la réponse à de telles questions. Mais aucune âme charitable n'avait apparemment atterri dans cette école pour venir me sauver dans ma descente en Enfers, et les enseignantes ne voyaient rien, ou du moins, feignaient de ne rien voir. Tout est tellement plus facile quand on ne s'en mêle pas et que la victime reste muette à tant de barbarie. La race humaine est si vile et sournoise... Je l'ai appris à mes dépends. Mais je ne voulais pas être un fardeau pour mon père. Alors je faisais semblant d'aller bien. J'essayais de sourire de façon pure et innocente, inventant des journées fabuleuses qui n'avaient jamais existé quand celui-ci voulait bien m'écouter. Je ravalais mes sanglots, j'enfermais ma douleur en moi et cachais mes bleus. Tout allait bien. Il ne s'était jamais rien passé. Combien de fois me suis-je répété ces mots ? Tellement que j'aurais pu finir par y croire. Mais à chaque fois que j'essayais de prendre un nouveau départ, je ne tombais que plus bas, me rappelant que j'étais impuissante, et condamnée. Puis un jour, deux filles se sont amusées à me couper les cheveux comme si j'étais une poupée Barbie. Je suis revenue à la maison avec les cheveux presqu'à ras, Alex a apprit le poteau rose, et c'était fini.

A cause de cet incident, je ne finis pas mon année de CE1. Mon père me garda à la maison, faisant venir une nourrice quand lui travaillait, comme si j'étais un bébé qu'on ne devait pas quitter des yeux une seconde. J'étais dans ses pattes, et ça ne semblait pas le réjouir outre mesure. Sans doute regrettait-il désormais de ne pas m'avoir abandonné quand il le pouvait encore. Alors j'essayais de réparer les choses, de devenir exemplaire et digne de lui. Mais quoi que je fasse, j'avais l'impression d'être aussi invisible à ses yeux. C'était douloureux. Bien trop douloureux. Si ma baby-sitter ne prenait pas autant soin de moi, j'en serais peut être venu à me demander si j'existais vraiment. Mais heureusement, ce ne fut pas le cas. J'avais juste ce sentiment de mal aise constant. Celui de n'être à ma place nul part. De ne pas avoir de chez moi où rentrer quand j'en avais besoin. Alors quand j'étais seule, dans ma chambre, je me laissais aller à ma peine, pleurant toutes les larmes de mon corps. Ça me donnait l'impression qu'après ça, j'irais mieux. Que tout rentrerait dans l'ordre. Mais c'était loin d'être le cas. Pendant les vacances, nous avons déménagé. Nous étions toujours dans la même ville, mais dans un autre quartier. On m'inscrivit à une nouvelle école, et cette fois-ci, je devais faire mieux que le désastre de la dernière fois. Mon père avait été clair là dessus. Et je lui avais promis de réussir, sans grande conviction. Ainsi donc, nous prenions un nouveau départ. Nouvelle rentrée dans un lieu nouveau. J'espérais que les gens y seraient différents. Après tout, l'espoir fait vivre.

Second Chapter. ~ The only thing I learned from love is the power it gives someone to crush you.


Le premier jour fut un désastre. J'étais tellement stressée que je me suis ridiculisée devant la classe entière en faisant mon entrée, trébuchant sur je ne savais quoi et m'étalant de tout mon long comme une crêpe, ma jupe se soulevant malencontreusement. Pire entrée en scène de ma vie. Quoique... Je ne le savais pas vraiment, ne me souvenant pas avoir fait quelque chose de bien ou de remarquable dans mon passé. Mais enfin bref, revenons au présent. Je suis devenue rouge comme une tomate et toute la classe est partie dans un fou rire incontrôlé. Alors j'ai baissé la tête honteuse, ne pouvant rien faire d'autre. Je n'avais pas la foi de rire avec eux de ma connerie, mais je ne voulais pas non plus pleurer à cause d'eux. Alors je restais muette tandis que les commentaires fusaient, me ridiculisant un peu plus. Je ne voulais plus de ça. Je n'en pouvais tout simplement plus. J'avais envie de fuir, de m'évader loin d'ici et me complaire dans une solitude sans bornes. Je préférais passer ma vie en solitaire que de devoir supporter cela encore et encore. J'étais trop jeune. Et mes nerfs n'allaient bientôt plus tenir, la dépression m'ouvrant déjà grand les bras. Mais ce soir là, ma mère vint à moi. Comment je l'ai su ? Honnêtement, je ne sais pas. Mais je savais au fond de moi que c'était elle, parce que chaque fibre de mon corps la reconnaissait, bien que je ne l'ai jamais vu. C'était un rêve, certes, mais il ma paraissait si réel que je ne doutais pas de sa véracité. Nous parlâmes peu, mais le peu qu'elle pu me dire me redonna l'espoir. L'envie de vivre. Il existait un endroit pour moi. Un endroit qui m'accueillerait à bras ouverts et m'aimerait pour ce que je suis. Les larmes perlèrent de mes yeux d'azur pur tandis que je me réveillais, haletante. Je n'hésitais pas une seconde. Je remplis une valise avec le strict nécessaire, fourrait la trousse à pharmacie dans mon sac, ainsi que le porte feuille de mon père, et je partais. Adieu la Pologne, direction l'Angleterre.

J'étais déterminée. Je savais que ce ne serait pas facile de quitter la Pologne, ou bien même ma ville, mais j'étais prête à tout. Même à affronter la mort. Alors sans bruit, j'ai quitté la maison avec mon sac et ma valise. Les bus ne passant pas à une certaine heure de la nuit, j'en attendis un de longues heures jusqu'à ce que le premier du matin fasse son apparition. Je payais avec un peu d'argent du porte feuille de mon père, souriais agréablement au chauffeur pour paraître naturelle, et commençais mon voyage. L'ascension jusqu'à l’aéroport se fit sans encombre, et une fois sur place, je fus comme guidée instinctivement dans le grand hall, puis les allées. J'avais un billet. Ma mère semblait m'en avoir offert un puisque je m'étais réveillée avec, sans vraiment savoir comment. Je le présentais donc au monsieur au guichet et lui donnait ma valise à soupeser et emmener dans la soute. Celui-ci fut surpris que je voyage seul, mais je ne sais trop comment, ne me posa pas plus de questions. Peut être cette détermination dans mon regard l'en empêchait-il ? Personnellement, avec toutes ces années de recul, je pense que ce fut la première fois que mon don opérait, mon charisme s'imposant à lui et le mettant facilement "dans ma poche". Mais qui sait, peut être était-ce juste ma bonne étoile. Le voyage dans les airs se fit sans encombre, et j'arrivais aux bout de quelques heures en Angleterre, à Londres. Là bas, je récupérais mes bagages en vitesse avant de filer, de peur que quelqu'un ne m'intercepte, par je ne sais quel moyen. Je ne savais désormais plus vraiment où aller, n'ayant pas plus d'indices sur ma destination, et pourtant, je n'hésitais pas une seconde sur la direction à prendre. Au fond de moi, quelque chose se réveillait. Et me guidait vers ma patrie. Alors direction l'Ouest.

Mon périple fut des plus longs, et des fois, j'eus l'impression d'être suivie ou observée, ce qui me donna des sueurs froides. Mais résolue comme jamais, le courage emmagasiné toutes ces années mais jamais utilisé se déversant par flots continus dans mes veines. j'utilisais l'intégralité de l'argent restant pour les repas et autres moyens de transports, jusqu'à arriver à proximité de ce que je cherchais. Comment je le savais ? Ça non plus je ne saurais vous le dire. Il y a eut tellement de mystères dans ce voyage... Mais qu'importe, le principal fut que je savais que je touchais au but. Alors j'ai marché. Longtemps. Très longtemps même. Un jour, peut être deux, je ne serais vraiment le dire. Mais j'arrivais finalement au but, sans force affamée et assoiffée. La maison du Loup se trouvait devant moi. Je ne me souviens plus comment j'y suis arrivée. Et à vrai dire, je ne me souviens plus non plus comment j'en suis repartie. Tout ce dont je me souviens, c'est d'y avoir rencontré Lupa, déesse protectrice de Rome. Oui, une déesse, rien que ça. A vrai dire, à la seconde où je la vis, je le sus. Et je compris bien des choses, comme la provenance de ma mère, puis finalement son nom. J'y restais quelques temps et y subis un entrainement draconien dont je me souviendrais toujours, révélant la battante qui était en moi, et me forçant à changer. Ce fut comme une renaissance. Douloureuse, certes, mais nécessaire. Je devais mériter ma place chez les Romains. Et je voulais plus que tout qu'on m'accepte dans cet endroit, dernier espoir de ma piètre existence. Alors, quand on me dit enfin que j'étais prête, et que j'avais l'honneur de pouvoir me rendre au camp, j'oubliais toute la souffrance emmagasiné ces derniers jours et quittais les lieux, pour me rendre à Cardiff, ou du moins, pas loin.

Je mis un peu de temps à découvrir l'endroit, en contrebas d'un ravin, mais je fus finalement victorieuse de cette longue quête qui s'achevait en ce jour, avec mon arrivée. Je traversais le Petit Tibre et débouchais enfin dans mon nouveau chez moi. Là, je dus passer un entretiens avec un prêteur du nom de Reyna. Je dois avouer qu'elle m'intimida beaucoup. Mais je n'étais plus la petite fille faible de Pologne, j'étais une guerrière, une Romaine. Alors je fis de mon mieux, et essayais de donner la meilleure impression possible de ma personne. Une fois l'entretien finit, on m'amena vers l'augure, qui accepta de m'intégrer dans la légion sans vraiment de réticence, du moins, je le pense. Il m'assigna à la quatrième cohorte et nous attendîmes qu'une âme charitable veuille bien venir se porter garant de ma personne. Cette âme s'incarna en la personne de Lorenzo, légionnaire sympathique qui me fit visiter la Nouvelle Rome, avant de devoir me laisser, ayant plus urgent à faire. Un peu perdu et ne sachant pas trop dans quelle direction aller, je finis dans la deuxième cohorte sans le savoir. Je dois dire que si Asa n'avait pas été là, je me serais couverte de honte. Heureusement, avant que qui que ce soit ne se rende compte de mon erreur, il m'aida aimablement à retrouver ma cohorte. Je n'étais pas aussi habile que je l'aurais voulue, mais je pensais avoir trouver deux amis. Deux sauveurs. Heureuse pour la première fois depuis si longtemps, je bénis ma mère de m'avoir conduit jusqu'ici. Je suis une fille de Vénus. Et je suis fière de l'être. 

Ma vie là bas ne fut jamais ennuyeuse, et parfois les temps furent rudes. Je passais une année en temps que probatio avant de devenir légionnaire. On m'assigna également un tatouage que je porte avec fierté sur mon avant bras droit. Mes frères et sœurs m'accueillirent les bras ouverts, et bien qu'au départ, je les trouvais différents, étant légèrement superficiels ou trop sur d'eux, je finis par m'y faire. Ou plutôt, je fis tout pour leur ressembler, de peur d'être un jour de nouveau rejeté. Et je jouais tellement bien ce nouveau rôle que je finis par bluffer tout le monde, même moi même. Certes, je n'étais pas superficielle, ou idiote, à moins que cela aille en ma faveur, et que donc, je le fasse paraître. Mais j'étais devenue orgueilleuse et vaniteuse. J'avais appris à m'aimer, à m'accepter. Et cela me faisait tellement de bien que peut être étais-je parti légèrement dans l'excès. Mais enfin, personne ne m'en voulu. Je me sentais bien dans ma peau. Je me sentais aimée. La petite fille qui broyait du noir et croyait ne pas avoir le droit d'exister avait disparu, laissant place à la fille de Vénus que j'étais. Un rayon de soleil qui enflammait les journées de tous par son charisme, sa beauté et sa séduction. Peut être m'étais-je perdue en chemin, mais je ne voulais plus faire marche arrière. J'avais oublier comment on aimait, ou du moins, je ne voulais plus aimer. Égoïstement, j'aimais me dire que tout le monde m'aimait sans que je n'ai besoin de m'attacher à qui que ce soit. Et ça me fit le plus grand bien. Une protection des plus efficaces quand deux guerres firent rages, l'une après l'autre, emmenant nombreux d'entre nous. Je fus touchée, certes, mais je ne sombrais pas.

Third Chapter. ~ Sometimes it takes losing something to realize what you've had.


La première boucherie se passa peu avant mon arrivée. Nous devions vaincre les Titans. Ou du moins, Cronos. Revenu à la vie, par un moyen obscur, promesse de chaos éternelle pour les humains. Je n'étais pas des plus entraînée, comparé à d'autres plus âgés vivant à la colonie depuis bien plus longtemps, mais je ne servis par à rien non plus, et la vie ne m'abandonna pas, par je ne sais quel miracle. La paix revint un court moment, puis la seconde guerre éclata, contre Gaïa cette fois. A croire que les pires menaces avaient une dent contre nous... Ou que le destin s'évertuait à nous pourrir l'existence, ne nous laissant que peu de répit. Qu'importe la raison à vrai dire, nous avons vécu des atrocités, que nos yeux d'enfants n'auraient jamais du voir. Les morts s'entassaient sur le champ de bataille, l'odeur de pourriture et de brûler était omniprésente, la perte d'être chers bien trop grande... Peu ont survécus. Et ceux qui ont survécus ne sont jamais redevenus les mêmes. C'était comme si en quelques années, nous avions porté le poids d'Atlas à sa place, broyant chacun de nos os et nous consumant, lentement mais surement. Ça avait été un massacre, pur et dur. Pourtant, je me refusais à redevenir l'ombre de moi-même. Certes, j'avais été profondément touchée. Mais je n'avais pas autant perdu que certains. Et je ne déplorais aucune réelle perte. Après tout, bien que j'ai de nombreux amis et soupirants, je n'étais prête à donner ma vie pour aucun d'eux. Du moins, je le croyais, refusant d'être dépendante à qui que ce soit.

Après ces années éprouvantes, la paix revint une fois de plus. Et elle dura assez longtemps. C'était... Revigorant de se lever sans craindre de se faire massacrer par un monstre antique. De ne pas être asphyxiée par cet odeur putride qui émanait du champ de bataille. De savoir qu'on pouvait profiter de la vie sans craindre que le ciel nous tombe sur la tête. Au début, c'était assez étrange, je dois l'avouer. Nous n'avions surement pas l'habitude, étant habitué à la guerre. Puis, nous finirent par apprécier à sa juste valeur le répit qui nous était octroyé. Bien sur, je ne laissais pas non plus tomber mon entrainement, et continuait à me battre avec toujours la même ardeur. Mais disons que la peur et la fatigue qui s'étaient emmagasiné en moi, gâchant ma beauté si pure, s'était lentement dissipé. Je rayonnais de nouveau, d'une lueur nouvelle. Je profitais de sa vie, à sa juste valeur. Je me mis à l'équitation. Et je me perfectionnais dans le lancé de couteaux et le maniement du sabre, en plus de ma technique habituelle avec une dague. Je fis de nombreuses conquêtes, mais aucun ne sut me garder bien longtemps, me lassant assez vite. Peut être cela venait-il de lui. Peut être cela venait-il de moi qui refusait de m'ouvrir. Peu importe, je n'apporte pas grand intérêt au passé. Surement le devrais-je, mais vous savez, je suis une vraie tête de mule. Enfin bref, trois années merveilleuse de paix, d'amour et de découvertes, sous les meilleurs hospices qui soient. Trois années de pur bonheur avant que la mort ne se décide à revenir dans nos vies.

Nous aurions du le sentir venir lorsque les grecs furent attaqués. Nous aurions du nous dire que nous étions les prochains sur la liste. Mais peut être étions nous trop fiers. Nous ne les avons même pas accueillis dans notre camp quand le leur parti en fumée, souvenir macabre d'une époque révolue. Je n'ai pour ma part, même pas été les voir à Poudlard quand ceux-ci s'y sont installés. Je n'en voyais pas l'intérêt. Je ne pouvais rien faire pour eux, et s'ils étaient la bas, forcément, c'est qu'ils étaient en vie. Du moins, pour ceux qui restaient. Vous me trouver froide ? Horrible ? C'est ce qui arrive quand on se détache des autres, prenant l'affection qu'on nous donne sans ne rien offrir en retour. Alors oui, peut être étais-je devenue monstrueuse. Mais ça ne rebutait pas pour autant les autres, alors je devais être un monstre bien tentant. Toujours est-il que notre méchanceté, si tel est le cas, fut punie, et que notre camp aussi fut dévasté et réduit en cendres. Oui, en cendres. Il ne restait plus rien à part quelques macchabées et le vestige de quelques bâtiments calcinés. La pire guerre de notre existence. Celle que nous avons perdu, totalement impuissants face à la menace. Ce jour là, soirée d'halloween, nous comprirent ce qu'était la peur, la vraie. Et aujourd'hui encore, je me rappelle l'effet que ça fait de voir tout le monde se faire massacrer sous ses yeux sans pouvoir bouger le petit doigt. C'est à vous glacer le sang. A vous pétrifier sur place. 

Le camp romain eut alors lui aussi l'obligation de s'installer au château enchanté, n'ayant plus aucun endroit où vivre sans se faire massacrer par une horde de monstres. Sympathique, n'est-ce-pas ? Je tenais à la vie, j'ai suivis le mouvement sans rechigner. L'immensité des lieux me scotcha, ainsi que toute cette magie étrange sortie de bouts de bois, mais je n'en fis pas étalage. Je me fichais aussi éperdument qu'ils soient de la même race de ceux qui avaient essayé de nous exterminé, ceux-ci étaient sans conteste différents. Gabriel, un mage dont je fis la connaissance à mon arrivée, me prouva que je n'avais rien à craindre ici. Tous les humains ne sont pas nazis parce qu'une partie d'entre eux l'étaient. Bah là, c'est pareil. Ils fallait juste avoir un peu de jugeote. Et calmer les rancœurs du passé. Notre camp fut reproduit à l'identique dans une salle des plus étranges, et je retrouvais avec satisfaction tout ce que je connaissais, même mon lit. Un nouveau départ s'annonçait, et je voulais le prendre du bon pied. Comme si nous n'étions pas assez chamboulés, Cupidon fit son apparition et vint semer la pagaille dans l'école de magie. Il jouait avec l'amour et ça ne me plaisait guère, mais je ne lui en voulu pas pour autant, n'étant pas un exemple dans ce domaine. Je tombais donc amoureuse d'un grec et nous restèrent ensemble le temps que le dieu en couche culotte eut fini de jouer avec nous. Une histoire sans lendemain, comme toutes les autres. Mais ça ne me fit ni chaud ni froid, ne l'ayant jamais aimé de toute façon. La vie est faite d'arrivée et de départ comme on dit.

Cependant, comme si l'autre idiot n'avait pas assez semé chaos et pagaille -pour un dieu de l'amour, on repassera-, Hestia, la déesse du foyer disparu mystérieusement. La bonne entente entre dieux s'écroula, et des tensions apparurent sur terre. Comme quoi, les puissances divines nous touchent plus que ce que l'on voudrait. Enfin bref, deux quêtes furent organisées, l'une cherchant à la retrouver, l'autre partant sur la trace des capes violettes. A l'heure actuelle, nous n'avons aucune nouvelle d'eux. Malheureusement, l'avenir est entre les mains de ces adolescents. Prions pour leur réussite. Et comme si tout ceci ne suffisait pas, et qu'on cherchait à nous accabler d'autant plus, le pire arriva. Cinq meurtres eurent lieu à Poudlard. Les coupables sont inconnus de tous, ce qui veut dire qu'ils courent toujours dans le château. Peut être montent-ils même en ce moment un plan pour nous exterminer, qui sait ? Oui, je deviens paranoïaque, mais qui ne le deviendrait pas ? Les temps ne sont plus sur, le Ministère est tombé et la guerre fait rage au dehors. Nous vivons la pire crise depuis de notre petite existence. Maintenant, il reste à savoir si nous serons assez fort et braves pour nous en sortir. Ou si nous trépasserons tous. Ça, seul l'avenir nous le dira. En attendant, pour essayer de nous faire oublier la triste réalité, un bal à lieu en ce moment même. Alors si vous le voulez bien, je vais arrêter de vous conter mon existence, et aller m'amuser. Que le sort nous soit favorable.


Dernière édition par Anastasia Herzarrow le Jeu 23 Avr - 15:18, édité 29 fois
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MessageSujet: Re: "Le cœur d'une femme est un océan de secrets." ~ Anastasia. "Le cœur d'une femme est un océan de secrets." ~ Anastasia. Icon_minitimeMar 14 Avr - 18:24

Bienvenue ma Cruella d'amour (même si t'es pas nouvelle) ! Bril


Bon courage pour ta fiche ! ** keur
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MessageSujet: Re: "Le cœur d'une femme est un océan de secrets." ~ Anastasia. "Le cœur d'une femme est un océan de secrets." ~ Anastasia. Icon_minitimeMar 14 Avr - 18:25

Haaaaaaaaan merci ! Bril 
Je vais avoir besoin de courage, oui. XD keur
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Hope Bluefield

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MessageSujet: Re: "Le cœur d'une femme est un océan de secrets." ~ Anastasia. "Le cœur d'une femme est un océan de secrets." ~ Anastasia. Icon_minitimeMar 14 Avr - 19:28

Bienvenuuue p'tit TC d'Anna **
J'aime trop le prénom Anastasia un truc de fou, si je me serais fait un QC je l'aurais appelé comme ça keur
Et le vava aussi est génial (Vive les blondes ! "Le cœur d'une femme est un océan de secrets." ~ Anastasia. 3957252115)
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Anastasia Herzarrow

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MessageSujet: Re: "Le cœur d'une femme est un océan de secrets." ~ Anastasia. "Le cœur d'une femme est un océan de secrets." ~ Anastasia. Icon_minitimeMar 14 Avr - 19:42

Hooooooooooope. **
Merci beaucoup ! keur
J'ai du prendre une heure à choisir le vava tellement il y en a pleins de trop beaux ! Bril 
Et pour le prénom... Je suis aussi une grande fan d'Anastasia. **
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Astrid A. Malfoy

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MessageSujet: Re: "Le cœur d'une femme est un océan de secrets." ~ Anastasia. "Le cœur d'une femme est un océan de secrets." ~ Anastasia. Icon_minitimeMer 15 Avr - 7:48

MA TAGADA D'AMOUUUUUUUUUUUUR !!!!!!!!!!!!! keur
Good luck pour ta fiche Wink
Slàine, je te retiens Nan
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Anastasia Herzarrow

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MessageSujet: Re: "Le cœur d'une femme est un océan de secrets." ~ Anastasia. "Le cœur d'une femme est un océan de secrets." ~ Anastasia. Icon_minitimeMer 15 Avr - 9:37

MA FOLLE CHERIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIE !!!!!!! keur 
Merci. **
Eh oh, pas de dispute sur ma fiche. Nan
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Erik Thorrson

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MessageSujet: Re: "Le cœur d'une femme est un océan de secrets." ~ Anastasia. "Le cœur d'une femme est un océan de secrets." ~ Anastasia. Icon_minitimeMer 15 Avr - 20:57




Bienvenue à Toi sur Anaklusmos !



Le combat est un art qui s'enseigne


C'est moi qui m'occuperai de ta fiche, si tu as la moindre question tu n'hésites pas à me contacter par mp. Voici les choses à savoir du forum et qui te seront bien utile pour ta fiche. Tout d'abord va lire le réglement ici ensuite rentre dans le contexte du forum , va voir l'intrigue en cours ici pour ne pas être perdu et savoir où nous en sommes. Pour finir renseigne toi sur la chronologie des événements du forum


Bonne chance pour la fin de ta fiche !





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Anastasia Herzarrow

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MessageSujet: Re: "Le cœur d'une femme est un océan de secrets." ~ Anastasia. "Le cœur d'une femme est un océan de secrets." ~ Anastasia. Icon_minitimeLun 20 Avr - 11:35

Merci ! keur
Oui, je vais me dépêcher. T.T
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Erik Thorrson

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MessageSujet: Re: "Le cœur d'une femme est un océan de secrets." ~ Anastasia. "Le cœur d'une femme est un océan de secrets." ~ Anastasia. Icon_minitimeJeu 23 Avr - 17:12

Hé bien hé bien il me semble pouvoir dire une chose jeune fille et c'est BRAVO :




Validation !!!



Bravo jeune demi-déesse, tu es à présent validée !
Maintenant que tu es inscrit(e), tu fais partie des nôtres ! Une bonne nouvelle, non ? Tu vas pouvoir RP, poster dans le flood... Mais avant, ça, il y a quelques petites choses à faire.
Pour commencer, viens lire le règlement et le contexte ici et ( même si cela a sûrement déjà été fait avant ton inscription, pas vrai ? Ensuite, vas recenser ton avatar ici, ouvrir une fiche de liens pour avoir des amis, crées-toi une fiche de RP ici, et regarde dans quels clubs tu pourrais t'inscrire . Tu pourras ensuite RP comme tu veux !
N'oublie pas une chose, amuse-toi !


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MessageSujet: Re: "Le cœur d'une femme est un océan de secrets." ~ Anastasia. "Le cœur d'une femme est un océan de secrets." ~ Anastasia. Icon_minitime

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