Passes ta souris sur l'image !

✣ Jia-Li est née dans un hôpital en Corée, tout de plus banal et normal. Seulement, c'est son avenir qui n'est pas commun à toutes les autres petites filles. Son enfance se passait normalement, elle avait quelques copains et copines en maternelle, aimait les dessin-animés populaires. Mais lorsqu'elle était censée dormir le soir, elle entendait ses parents. Sa mère qui pleurait et gémissait sous les coups de son père. Alors la jeune fille se mettait à pleurer à son tour sous sa couette.

Sa mère se défendait pas, elle ne partait pas, jusqu'au moment où Jia-Li eut 8 ans, et où son père leva la main sur la jeune fille. C'était le geste de trop, la plus vieille des deux prit la décision d'emmener sa fille loin du père. Il pouvait la frapper elle, mais sûrement pas sa progéniture. Le soir même, les deux filles se trouvaient dans un avion en direction des États-Unis, le pays de la liberté.

La petite fille adora tout de suite l'Amérique, tout était plus grand et plus beau. Sa mère retrouvait sa joie de vivre, et la jeun Wang se fit d'autres amies. À 15 ans, Jia-Li sortit avec son premier et seul petit-ami. Elle était adolescente et naïve, elle pensait que c'était l'amour de sa vie. Mais bien sûr, celle-ci se trompait, elle découvrit qu'il la trompait avec une autre fille, une belle américaine plus âgée. Jia-Li en fut littéralement brisée, et elle se promit de ne plus jamais ressortir avec un garçon. Elle était dégoûtée des hommes.

Le jour de ses 18 ans, sa mère l'emmena dans un restaurant un peu chic pour l'occasion, celle-ci avait économisé pour que cette soirée soit merveilleuse pour sa fille. Ce fut le contraire, en sortant du restaurant, un homme surgit de nul part, et leur demanda leur argent. Sa mère et elle même n'avaient plus rien, et la mère reçue une balle dans la poitrine, la jeune fille s'effondra, elle venait de perdre sa raison de vivre. La Wang s'apprêtait à se prendre une balle à son tour, mais elle s'en fichait, elle ne pouvait vivre seule. Mais quelque chose de magique se passa, une flèche s'enfonça dans la poitrine de l'homme et il s'effondra au sol, mort. Les chasseresses, comme elles se faisaient appeler, l'accueillir. Jia-Li accepta la proposition que ces dernières lui faisaient et elle devint chasseresse. Renoncer aux hommes ne fut pas compliquer, elle les détestait. La jeune fille commençait sa nouvelle vie.

Aller à Poudlard, où se trouvaient des tas d'hommes ne fut pas facile pour elle. Mais celle-ci suivit ses sœurs à contre-cœur. La chasseresse évita tout contact avec les hommes dès son arrivée.

Le soir d'Halloween, elle n'était pas présente à la fête n'étant pas prête pour danser en compagnie de ces êtres masculins. Elle loupa donc le bataille, ce qui l'énerva au plus au point.

Jia-Li n'échappa pas à la mission Cupidon,elle reçut une flèche qui la gît haïr un pauvre demi-dieu grec qui n'avait rien demandé. Cette histoire se finit presque en bataille, elle fut bien heureuse quand elle se termina.

Nom du lien. 

✣ Ex turba vero imae sortis et paupertinae in tabernis aliqui pernoctant vinariis, non nulli velariis umbraculorum theatralium latent, quae Campanam imitatus lasciviam Catulus in aedilitate sua suspendit omnium primus; aut pugnaciter aleis certant turpi sono fragosis naribus introrsum reducto spiritu concrepantes; aut quod est studiorum omnium maximum ab ortu lucis ad vesperam sole fatiscunt vel pluviis, per minutias aurigarum equorumque praecipua vel delicta scrutantes.

Paphius quin etiam et Cornelius senatores, ambo venenorum artibus pravis se polluisse confessi, eodem pronuntiante Maximino sunt interfecti. pari sorte etiam procurator monetae extinctus est. Sericum enim et Asbolium supra dictos, quoniam cum hortaretur passim nominare, quos vellent, adiecta religione firmarat, nullum igni vel ferro se puniri iussurum, plumbi validis ictibus interemit. et post hoe flammis Campensem aruspicem dedit, in negotio eius nullo sacramento constrictus.

Excitavit hic ardor milites per municipia plurima, quae isdem conterminant, dispositos et castella, sed quisque serpentes latius pro viribus repellere moliens, nunc globis confertos, aliquotiens et dispersos multitudine superabatur ingenti, quae nata et educata inter editos recurvosque ambitus montium eos ut loca plana persultat et mollia, missilibus obvios eminus lacessens et ululatu truci perterrens.

Passes ta souris sur l'image !

✣ La petite fille au fond de la salle de classe, celle qui ne parle jamais, qui n’a pas beaucoup d’amie, et dont les parents ne viennent jamais aux spectacles de fin d’année et aux concours de sciences, cette petite fille au fond du bus, qui, quand elle grandira, s’enfermera dans un monde imaginaire, écoutant la musique chaque seconde qu’elle ne passe pas à l’école, cette petite fille qui subira les pires injures et les plus grands coups bas mais qui continuera de sourire et de faire confiance, cette petite fille qui invisible dont on se sert et qui ne dit jamais rien, cette petite fille, elle souffre. Elle souffre à en mourir. Mais elle ne dira jamais rien, parce que c’est comme ça qu’elle a toujours vécu. Cette petite fille aimerait pouvoir parler de ce qui va pas à papa et maman, mais ils n’ont jamais été là pour elle, tous les deux trop, beaucoup trop occupés.

Alors elle commença à chercher de l’attention. Elle se bat pour trouver quelqu’un qui la regarde, sans jamais réussir. Elle aimerait qu’on la soutienne, qu’on lui dise qu’on l’aime, mais elle n’a le droit qu’aux railleries et aux moqueries. D’école en école, elle n’arrive jamais à trouver de vrais repères. Elle s’enfonce dans sa dépression, et on continue à pas la voir. Elle prie, elle crie, elle se meurt lentement, et personne l’entend. Puis un jour, elle n’en peut plus, elle cherche un moyen de s’en sortir, elle a trop perdu pied, alors elle doit choisir entre trois armes d’autodestructions : la mort, parce que c’est le moyen le plus radical d’en finir, la dépendance, parce que l’alcool et la drogue ça aide à fuir, la comédie, parce que c’est comme ça qu’on fait pour être accepté non ? Les larmes coulent sur ses joues, elle essaye de parler à sa mère, elle essaye de fuir son choix, mais tout l’y ramène.

Alors elle se maquille, elle s’habille autrement, elle affiche un énorme sourire, et une coupe de cheveux trop compliquée pour n’en être qu’une simple coupe. Et cette fois, on la regarde. On fait enfin attention à elle. Et petit à petit, elle s’entoure d’amis. Et elle en est heureuse. Elle aime être entourée.  De soirée en soirée, elle finit par se perdre et totalement oublier ce qu’elle est. Bientôt, elle enchaînera les relations amoureuses sans sentiments et les déceptions. Et puis un soir, tout bascule. Elle ne s’y attendait pas, et personne ne s’y attendait. C’était son cinquième ou septième petit ami. Elle avait perdu le compte depuis longtemps. La main posée un peu trop sur sa cuisse, elle le repousse, il refuse de s’éloigner, il insiste, et très vite elle pleure, elle l’implore à l’aide. Il ne l’écoute pas, il poursuit et avant que le pire ne soit commit, s’arrête soudainement. La petite ruelle sombre dans laquelle la voiture était garée s’éclaira. Une flèche pointée sur sa tempe, son petit ami ne s’attarda pas et s’enfuit très rapidement, mais elle, elle ne bougea pas. Tétaniser, elle fixait la jeune fille à la chevelure blonde. Pour la première fois de sa vie, on lui tendit une main pour l’aider à remonter à la surface, et elle n’hésita pas une seconde à la prendre.

Sister for ever. 

✣ Maëlys doit sa vie entière à Athena. Aussi incroyable que ça puisse paraitre, c'est bel et bien la réalité. Lorsque Maëlys a commencé à vraiment perdre pied et qu'elle s'est retrouvé dans la pire des situations au monde, c'est Athena qui l'a sauvé des griffes d'un homme répugnant voulant aller bien au delà de ce que Maëlys pouvait imaginer. A l'époque, personne n'avait jamais réellement porté d'attention à la jeune fille, et elle sombrait dans le pire quand Athena lui a tendu la main. C'était la première fois de sa vie que quelqu'un lui venait en aide.

Et depuis, elles sont devenues quasiment inséparables. On trouve rarement Athena sans Maëlys. Malgré la différence d'âge, Athena est très vite devenue comme une protectrice et un professeur pour Maëlys, lui enseignant tout ce qu'elle avait apprit elle-même au contacte des chasseresses et dans sa vie avant. Maëlys a beaucoup d'admiration pour le courage d'Athena tout comme Athena envie Maëlys d'avoir pu connaitre des choses qu'elle ne connaîtra jamais.

Who run the world ? Girls !. 

✣Theia et Maëlys n'ont pas beaucoup en commun en réalité. Contrairement à Maëlys, Theia n'a pas rejoint les chasseresses d'Artemis pour fuir à une histoire d'amour qui a mal tourné, et ne comprend pas réellement les motivations de Maëlys pour avoir essayé d'aller vers les hommes, surtout ce type d'homme. Néanmoins, elle admire beaucoup le courage dont elle a fait preuve pour aller vers eux, car elle-même n'irait jamais vers un homme. Theia ne traite pas différemment Maëlys des autres chasseresses même si par moment, elle aimerait lui rappeler que le monde entier n'est pas seulement la vision triste et pauvre qu'elle en a eu.

Et Maëlys a beaucoup d'admiration pour le courage de Theia. Elle, pense que celle-ci a du souffrir énormément de l'absence de ses proches depuis tant d'années, et admire le fait qu'elle soit encore debout pour se battre au côté de la déesse après tant de bataille. Maëlys envie beaucoup la force dont Theia fait preuve. Elle aimerait lui ressembler un peu plus sur ce point là, malgré que pour le reste, elle ne trouve tout comme Theia aucun point commun avec elle. Aussi surprenant que celle-là puisse paraitre, les deux jeunes filles s'entendent pourtant à merveille car elles savent toutes deux faire la part des choses et tirer avantages de leurs différences pour nouer des liens que plus solides.